Josée Andrei est née en Corse dans une maison hantée, elle atterri dans les bras d’une sorcière, en plein hiver, en pleine tempête. Peintre, sculptrice, thérapeute, tireuse de tarot, licenciée en psychologie et en littérature moderne, photographe, militante… En 1981, elle fui les “années d’hiver” et s’installe définitivement à San Francisco. Insatiable, Josée Andrei a rêvé Marc Chagall, rencontré Marthe Wéry et exposé, en Europe et aux Etats-Unis, notamment lors du premier “Fest with Pina” à Wuppertal.

Vit et travaille à Bruxelles.
Fils d‘émigré. Etudie et milite à l’ERG, Bruxelles (vidéo). Formé en ethnopsychiatrie au Centre Georges Devereux (Université Paris 8).
Cinéaste. Programmateur, notamment pour le Cinéma Nova, Bozar Cinéma ou le festival Radiophonic, à Bruxelles. Enseignant à l’ERG (Bruxelles).
Il est par ailleurs activiste, pendant plus de dix ans, au Centre Nerveux/Centre de Rencontres Interculturelles à Ottignies-Louvain-la-Neuve et co-fondateur du Simili-théâtre, deux associations, qui travaillent autour des tensions, des relations et des agencements entre les cultures dites “populaires” et les cultures dites “d’avant-gardes”, il est également le co-fondateur de Collerette Coco Fill Lsd, Bureau de graphisme récalcitrant.
“Josée Andréi, An Insane Portrait” est son premier film.